Une véritable claque visuelle. J'applaudis ce sentiment de malaise constant durant tout le visionnage de l'épisode. J'avais vraiment l'impression d'être observatrice d'un cauchemar tout du long.

Que d'inventivité également : entre les images sans paroles et en noir et blanc, la reprise de l'histoire à la craie, la conscience anglaise... Il y'a pléthore d'idées à la minute, tout en étant diablement bien filmé.

Un vrai gros coup de cœur pour cet épisode.

Wow que c'est bon ! Cet épisode touche la perfection dans tout les domaines. Je me suis repassé le passage film muet 5 fois ! Du grand art.

Rien de plus à ajouter à ce qui a déjà été dit. La réal de cette série m'émerveille à chaque épisode, Audrey Plaza est géniale, l'accent anglais et le tableau noir...

Plus qu'un épisode, ce qui est pile le bon rythme pour cette saison, je trouve. Ni trop ni pas assez.

Je trouve ça franchement brillant. Le coup du tableau noir qui est excellent, la conscience (anglaise) de David, le combat en noir et blanc, dans la veine des anciens films, l'ambiance film d'horreur et Audrey Plaza à nouveau phénoménale.

C'est honnêtement brillant.

Le chef d’œuvre de cette saison.

Quarante minutes totalement maitrisées que je pourrais regarder en boucle. Ils parviennent à caler encore plus d'idées et d'inventivités que les épisodes précédents. Tout le long passage montage alterné en noir et blanc et silencieux, c'est absolument admirable. C'est d'une intelligence et d'un savoir-faire hallucinant. Et tout ça en te raccordant à la mythologie X-Men et à un méchant classique que je n'avais pas vu venir.

Quelle magnifique série.

Voilà, pour quelqu'un comme moi qui loupe souvent des données importantes, il faudrait cela dans chaque série : un mec avec un tableau et une craie qui explique au calme toute l'affaire. J'ai l'air de me moquer, mais non, j'ai vraiment trouvé l'idée géniale et sa réalisation bien foutue.

D'ailleurs, quand l'épisode a commencé, j'ai senti en moi une pointe de lassitude, surement du à l'épisode précédent et j'avais peur que trop de bizarreries tue la bizarrerie. Mais Legion a fait taire mes doutes en proposant un final de feu, en noir et blanc, muet, porté par une Audrey Plaza démentielle.

C'était tellement beau, qu'on aurait cru à un épisode final.

(Par contre, je n'ai pas compris qui était le mec qui bave en fauteuil roulant).

Tout le passage avec la conscience rationnelle de Légion (qui, bien sûr, a un accent anglais (génie !)) est absolument fabuleux, depuis les dialogues jusqu'à l'inventivité graphique... on ne dira jamais assez que Légion est une bouffée d'air frais dans l'univers très formaté des œuvres audiovisuelles mainstream actuelles.

Génial.